16 Décembre 2024
J’ai recherché les Ginkgos dans quelques parcs des villes environnantes.
A Albertville, on peut en voir partout :
Un dans le jardin de la sous-préfecture, un à la villa Brachet (construite vers 1870).
Je n’ai pas pu savoir la date de création de ces parcs auprès du service technique de la mairie.
Une allée de 14 jeunes Ginkgos borde le stade olympique rue Winnenden.
Puis un à Albertville, au parc du Val des Roses etc.
A Chambéry :
Et deux plus grands au parc du Verney.
A Aix-les-Bains : un grand tout ébranché au parc thermal.
A Annecy, plusieurs Ginkgos poussent dans les jardins de l’Europe, au bord du lac, dont un magnifique qui a été planté en 1855 lors de la création du jardin. Donc il est âgé de 169 ans, plus ses années de pépinière. J’ai mesuré la circonférence : 4.18 m à 1.20 m du sol.
A Grenoble, j’ai vu trois Ginkgos au parc Mistral et compté dix au parc Michallon et en bordure, presque tous très âgés. J’ai mesuré le plus gros : 4,16 m de circonférence à 1 m du sol.
Et le plus gros Ginkgo est à Gières, aux anciennes pépinières Ginet. J’ai mesuré 4.40 m de circonférence.
Sur le tronc des Ginkgos âgés de plus de cent ans se forment des excroissances pendantes. Avec le temps, en s’allongeant et en retombant sur le sol comme des stalactites, elles vont s’enraciner par marcottage naturel. Ce sont des chichis. Le terme chichi signifie mamelle. La formation des chichis est difficilement compréhensible. Il est prouvé que ce n’est pas le fait d’un insecte ou d’un champignon.
J’ai vu des chichis sur les 3 plus gros Ginkgos :
A suivre…
Françoise Benoit