19 Février 2024
Maintenant je suis arrivée en haut de la forêt, la vue est magnifique et il y a encore des sculptures.
Il faut les chercher un peu, c’est un parcours très ludique. La plupart d’entre elles sont en bois, un peu usées par les intempéries. Elles ont perdu leurs couleurs et le bois est fendillé, mais cela ne gêne en rien à leur charme.
Ce curé, c’est Jean-Baptiste Cerlogne (1826-1910), père de la poésie francoprovençale en Vallée d’Aoste, auteur d’une grammaire et du premier dictionnaire valdôtain.
D’autres sculptures sont en pierre ou en béton pour les grands animaux.
Elles ont été faites par Siro Vierin (né en 1959). Il y en aurait presque 300.
C’est lui qui a construit le refuge du Mont Fallère et qui le garde.
J’ai cherché, regardé, admiré, photographié… et j’ai mis 3 h pour arriver au refuge. Mais il faisait beau et rien ne pressait.
J’aimerais y retourner au mois de juin au moment des fleurs et passer la nuit au refuge…
Françoise Benoit