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Telekia speciosa, une belle Astéracée (Composée) d’Europe centrale (2)

Les insectes aiment butiner les grandes fleurs de Telekia speciosa. Ses fleurs attirent de nombreuses abeilles et bourdons, quelques papillons et même des fourmis !

Le Bourdon terrestre, Bombus groupe terrestris - C’est le plus commun des bourdons en Europe. Son abdomen à l’extrémité blanche lui a valu le surnom de « Cul blanc ». C’est un très bon pollinisateur : il pollinise de bonne heure, au printemps à des températures inférieures à 15°, par temps couvert, venteux et même pluvieux ! Il se nourrit de nectar.
Le Bourdon terrestre, Bombus groupe terrestris - C’est le plus commun des bourdons en Europe. Son abdomen à l’extrémité blanche lui a valu le surnom de « Cul blanc ». C’est un très bon pollinisateur : il pollinise de bonne heure, au printemps à des températures inférieures à 15°, par temps couvert, venteux et même pluvieux ! Il se nourrit de nectar.

Le Bourdon terrestre, Bombus groupe terrestris - C’est le plus commun des bourdons en Europe. Son abdomen à l’extrémité blanche lui a valu le surnom de « Cul blanc ». C’est un très bon pollinisateur : il pollinise de bonne heure, au printemps à des températures inférieures à 15°, par temps couvert, venteux et même pluvieux ! Il se nourrit de nectar.

L’Abeille domestique, Apis mellifera

L’Abeille domestique, Apis mellifera

La Sylvaine, Ochlodes sylvanus - une Hespérie très répandue en France. C’est un papillon de jour, mais chez les Hespéries, au repos, les ailes ne sont pas repliées l’une contre l’autre : les ailes postérieures sont écartées, les ailes antérieures à demi-fermées. Ce mâle a sur l’aile antérieure un trait noir, épais, une strie androconiale : ce sont des écailles odoriférantes qui diffusent des phéromones attractives. Il « perche » : posé sur une feuille, il défend son territoire et prend en chasse tout papillon intrus.

La Sylvaine, Ochlodes sylvanus - une Hespérie très répandue en France. C’est un papillon de jour, mais chez les Hespéries, au repos, les ailes ne sont pas repliées l’une contre l’autre : les ailes postérieures sont écartées, les ailes antérieures à demi-fermées. Ce mâle a sur l’aile antérieure un trait noir, épais, une strie androconiale : ce sont des écailles odoriférantes qui diffusent des phéromones attractives. Il « perche » : posé sur une feuille, il défend son territoire et prend en chasse tout papillon intrus.

Le Moiré blanc-fascié, Erebia ligea - Un papillon sombre avec une strie blanche sur le revers de l’aile postérieure. La croissance de sa chenille est lente, elle hiverne deux fois ! En France, dans tous les massifs montagneux, sauf dans les Pyrénées.

Le Moiré blanc-fascié, Erebia ligea - Un papillon sombre avec une strie blanche sur le revers de l’aile postérieure. La croissance de sa chenille est lente, elle hiverne deux fois ! En France, dans tous les massifs montagneux, sauf dans les Pyrénées.

Le Grand Nacré, Speyeria aglaja (Argynnis aglaja) –Un grand papillon, envergure 50-55 cm. Les taches nacrées se trouvent sous l’aile postérieure. Presque tous les Nacrés ont comme plantes-hôtes les Viola, violettes et pensées.
Le Grand Nacré, Speyeria aglaja (Argynnis aglaja) –Un grand papillon, envergure 50-55 cm. Les taches nacrées se trouvent sous l’aile postérieure. Presque tous les Nacrés ont comme plantes-hôtes les Viola, violettes et pensées.

Le Grand Nacré, Speyeria aglaja (Argynnis aglaja) –Un grand papillon, envergure 50-55 cm. Les taches nacrées se trouvent sous l’aile postérieure. Presque tous les Nacrés ont comme plantes-hôtes les Viola, violettes et pensées.

Une Sauterelle cymbalière, Tettigonia cantans – « La Sauterelle qui chante » : sa stridulation est un bourdonnement puissant et strident, d’intensité régulière.  Elle ressemble à la Grande Sauterelle verte, Tettigonia viridissima, mais elle est un peu plus petite, ses ailes sont plus courtes et plus larges. Elle ne vole pas. Elle remplace la Grande Sauterelle verte en altitude. Elle est phytophage, mais consomme quelques insectes. C’est une femelle car elle a un oviscapte en forme de sabre, qui lui sert à creuser un trou dans le sol avant d’y déposer ses œufs (100 à 150 œufs).

Une Sauterelle cymbalière, Tettigonia cantans – « La Sauterelle qui chante » : sa stridulation est un bourdonnement puissant et strident, d’intensité régulière. Elle ressemble à la Grande Sauterelle verte, Tettigonia viridissima, mais elle est un peu plus petite, ses ailes sont plus courtes et plus larges. Elle ne vole pas. Elle remplace la Grande Sauterelle verte en altitude. Elle est phytophage, mais consomme quelques insectes. C’est une femelle car elle a un oviscapte en forme de sabre, qui lui sert à creuser un trou dans le sol avant d’y déposer ses œufs (100 à 150 œufs).

                                                               Monique et Claudie

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